Vive le vent, vive le vent,
Vive le vent d’hiver.
Qui siffle sur la colline
Et gémit dans la plaine,
Vive le vent, vive le vent,
Vive le vent d’hiver.
Quand il souffle sur la ville,
Il emporte tout sur son passage,
Les toits, les cheminées,
Et les feuilles mortes,
Vive le vent, vive le vent,
Vive le vent d’hiver.
Il peut être froid et cruel,
Mais c’est aussi un ami fidèle,
Qui vous réchauffe le cœur,
Quand il souffle dans les voiles,
Vive le vent, vive le vent,
Vive le vent d’hiver.